7 décembre 2010
C'est le vide vide, la mort morte
" Elle était allongée sous la couverture dont les motifs n'avaient, sur elle, plus rien de militaire, elle était légèrement plus haut que les autres, comme sur un trône. Elle parla en ces termes : « Tu mens. Tu m'as trompée dès le début. Tu n'as jamais pris cela au sérieux. Tu es un tricheur, un escroc, un faussaire. Tu m'as prise au piège et si je devais en mourir, ce sera ta faute et tu en seras puni . DIM ce n'est pas un dieu solaire invincible, mais une marque de collants. Tu es un mauvais lecteur. Tu dis : J'aime bien qu'on me dérange mais tu n'es capable que d'être seul et pas même seul avec toi, mais seul avec tes livres, tes crayons en or et tes cailloux...» " P.Handke
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