26 janvier 2009
Solitude
" Tu auras compris sans doute la pensée qui m'a fait brusquement quitter Vienne... je m'arrache à des souvenirs. - Je n'ajouterai pas un mot de plus, quant à présent. J'ai la pudeur de la souffrance, comme l'animal blessé qui se retire dans la solitude pour y souffrir longtemps ou pour y succomber sans plainte. " G.Nerval
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