28 décembre 2005
On frappa violemment à la porte
*
" Je ne pus m'empêcher de dire : « Merde, c'est pas vrai ! » J'avais bondi sur mes armes, deux de mes colts 45 à la ceinture et une mitraillette dans les mains. Francine sommeillait.
« Vite, réveille-toi...les flics sont là. ».
Elle me regarda, étonnée...puis réalisant :
« Oh! non, c'est pas vrai ...Oh! non, chéri ! »
Je n'avais pas de temps à perdre.
« Couche-toi à terre, je vais tenter ma chance... Adieu, fillette. » J.Mesrine
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