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FAUSTROLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL

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3 juin 2013

Ravissement

« Le cri foudroyant du ravissement des séraphins.» F.Kafka

 

poteau002

 

 

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26 mai 2013

Lady Sandwich

« Je me précipite, j'accours dans ma salle à manger, et là, voyant ma chère lady Sandwich devenir toute rouge, je m'aperçois qu'elle était en train de faire quelque chose sur le pot. Moi aussi j'étais tout honteux et je me suis mis à parler, mais sans agrément, tant j'avais de pitié pour Mylady.» S.Pepys

 

 dimanche234

 

 

 

20 mai 2013

En dix ans

« Je ne me souviens pas d'avoir sonné deux fois, en dix ans, pour demander quoi que ce fût. Voilà vivre ! N'avoir rien à chercher, pas même ses pantoufles.» H de Balzac

 

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19 mai 2013

À jamais

« Parmi la confusion apparente de notre monde mystérieux, les individus sont si bien ajustés à un système, et les systèmes les uns aux autres, et le tout ensemble, que, en s'effaçant un court instant, un homme s'expose au risque terrible de perdre sa place à jamais. » N.Hawthorne 

 

 nappe003

 

 

 

13 mai 2013

Rue Q

« De sorte qu'il sombra dans une solitude où seuls un perico ou le nichon d'une puta faisaient office de consolation. Il buvait comme un trou avant de siroter de petites tasses de café et d'essayer de donner des coups de fil dans la rue Q; mais ses appels ne passaient pas. Et puis, un jour de sortie de cuite, il vit une bande de bandidos avec des serre-tête noirs le ramasser pour le balancer sous la douche. Une eau rouillée lui plut dessus.» J.Charyn

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9 mai 2013

Temps doré

« O tendres désirs, doux espoirs
Temps doré du premier amour !
L'oeil voit le ciel ouvert,
Le coeur s'épanouit en félicité
O puisse-t-il fleurir toujours
Le temps doré du jeune amour.

Oui, ce sont quasiment les dernières lignes tracées par Karl Marx. » F.Schiller

 

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5 mai 2013

Pathétique démonstratif

« Entre nous, tu sais que peu de gens autant que moi détestent le pathétique démonstratif. Pourtant ce serait mentir que de ne pas avouer que mon esprit est en grande partie absorbé par le souvenir de ma femme qui fut la meilleure part de ma vie. » K.Marx

 

dimanche231

 

 

 

3 mai 2013

Tendres oublies

« Fabian  fut intrigué par la protubérance de ses petites lèvres en forme d'ellipse, tendres oublies trempées de liqueur. Il remarqua que l'une d'elles était nettement plus longue que l'autre; Vanessa lui dit que, tout comme son bec-de-lièvre, il s'agissait d'un défaut de naissance.» J.Kosinski

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1 mai 2013

Bonne nuit

«  ... J'aurais voulu lui faire comprendre aussi cette conséquence amère, qui faisait que cette nouveauté que le poète travaillait à donner aux mots, et qui lui coûtait tant de travail, s'usait à son tour avec le temps, avec l'habitude...» P.Gadenne

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21 avril 2013

Mots

« Je m'emplis de ce moment, en devinant déjà que ce souvenir sensuel appartiendra à la mémoire du toucher, qu'il échappera toujours aux mots qui tenteraient de le circonscrire.» H. Le Tellier

 

fleur003

 

 

 

 

 

20 avril 2013

Éros

« La recrudescence de la vulgarité générale dans un pays coïncide toujours avec une recrudescence de l'érotisme affiché. Éros à deux, vivat ! Éros affiché, pouah ! » H.de Montherlant

 

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16 avril 2013

Corps

« Corps retrouvé dans les rumeurs d'un corps. L'âme est un mot gonflé de sang lointain.» E.Jabès

 

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14 avril 2013

Seul

« Elle a jeté les valises par la fenêtre
  et il est dans la rue
  seul avec les valises » J.Prévert

 

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7 avril 2013

Passion pour tous

« Il n'y a donc pas plus d'hommes que de femmes ou d'enfants mais en chacun - homme ou femme - des énoncés masculins , féminins, homosexuels et puérils, des énoncés volcaniques et schisteux, vénusiens ou solaires car la libido ne débouche jamais sur l'amour d'un individu ou d'un groupe mais toujours sur l'amour de l'humanité et moins encore sur la philanthropie que sur " l'omniphilie", la passion pour le tout, pour chacune des choses, et, pour leur totalité rassemblée. Il n'existe pas une différence insurmontable des sexes car tous les sexes sont accessibles à chacun, toute passion étant à la fois cosmique et microscopique.» Ch. Fourier

 

dimanche227

 

 

31 mars 2013

Fin du monde et de la littérature

« Elle en a lu quelques pages et, horrifiée, m'a demandé si je faisais partie du peloton de lourdauds qui croient que c'est la fin de la littérature et que la faute en revient au marché, si j'étais l'un de ces nigauds qui croient que la littérature est en crise, menacée. Puis nous avons baisé. Une baise sauvage. Nous avons baisé comme si c'était la fin du monde et de la littérature. Nous avons baisé avec le même enthousiasme que le jour où nous nous sommes connus.» E.Vila-Matas

 

poulet003

 

 

28 mars 2013

Jusqu'au silence

« Il n'y a pas de tableau sans technique, mais on trouve quelquefois des tableaux aussi révélateurs que les rêves.  Georges de La Tour, Vermeer, Klee peut-être, et certaines expressions de langage qui vont jusqu'aux limites du langage, jusqu'au silence, comme chez Mondrian. Ou alors, exprimant l' "objectivité absolue", purifiée, essentielle comme chez Geer Van Velde. » E.Ionesco

 

hollande002

 

 

26 mars 2013

Plaisirs ou derives

« Dans le taxi de retour, orage et forte pluie. Je traîne à la maison (je mange du pain grillé et de la féta), puis, me disant qu'il faut que je perde l'habitude de "calculer" les plaisirs (ou les derives), je ressors et vais voir le nouveau film porno du Dragon : comme toujours  - et peut-être encore plus -, lamentable. » R.Barthes

 

cahiers002

 

 

13 mars 2013

Une épave

« Or, souvent je prends par l'épaule
le coin d'une haie, je l'étreins
croyant y trouver un dernier appui - une amie.
Aussi bien, son épine déchire ma manche;
ses moineaux conchient mon vieux chapeau.
Il se trouve que mes yeux n'ont plus de larmes - 
et à me parcourir des bras aux pieds
c'est tout secs qu'ils voient une épave ! » I.Ch'Vavart

 

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12 mars 2013

Elle

« Après avoir monté les escaliers de chêne sombre elle se trouve devant la glace au cadre que rongèrent les vers elle y contemple un torse vierge toute la campagne est embrasée et doucement arrive à ses pieds une bête domestique comme pour rappeler cette vie animale qu’aussi bien recèle un corps de femme. » J.Follain

 

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3 mars 2013

La mélancolie de l'artiste

« Il ne fallait pas s'y tromper : cette oeuvre était une image de la mort de l'art, une réflexion spéculaire sur ce monde condamné à la répétition infinie de ses propres modèles. Et ces variations minuscules de copie à copie, qui avaient tant exacerbé les visiteurs étaient peut-être l'expression ultime de la mélancolie de l'artiste : comme si, peignant la propre histoire de ses oeuvres à travers la propre histoire des oeuvres des autres, il avait pu, un instant, faire semblant de troubler "l'ordre établi" de l'art. » G.Perec

 

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