Fin du monde et de la littérature
« Elle en a lu quelques pages et, horrifiée, m'a demandé si je faisais partie du peloton de lourdauds qui croient que c'est la fin de la littérature et que la faute en revient au marché, si j'étais l'un de ces nigauds qui croient que la littérature est en crise, menacée. Puis nous avons baisé. Une baise sauvage. Nous avons baisé comme si c'était la fin du monde et de la littérature. Nous avons baisé avec le même enthousiasme que le jour où nous nous sommes connus.» E.Vila-Matas